Petit humain, mais qu'as-tu fait ? Ouvrir ce livre, pris de curiosité ! Quelle grave erreur, car dès maintenant, les contes te garderont pour eux !
La seule manière de t'en sortir, c'est de te battre et survivre. [RPG Survival Conte&Humain]
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 Amétysse

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Amétysse
Amétysse


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MessageSujet: Amétysse   Amétysse Icon_minitimeVen 10 Fév 2012 - 9:28
Carte d'identité






Amétysse 913931livre


    Nom : Phillies
    Prénom : Amétysse
    Surnom : Tyss
    Sexe : Fille
    Âge : 16 ans
    Origine : Monde des humains, France
    Orientation Sexuelle : Hétéro








Tout sur votre personnage
Physique :

Si vous entrer dans ce bistrot, le Phillies, vous trouverez la jeune fille portant l’étrange nom d’Amétysse. Vous pouvez la voir, la demoiselle aux longs cheveux bruns, qu’elle attache souvent en queue-de-cheval pour ne pas être gênée, aux yeux verts qui illuminent un visage que l’on pourrait qualifier de joli. Elle est de taille correcte pour ses seize ans, et elle n’a pas à se plaindre de son tour de taille qui lui permet de se faufiler entre les tables, un plateau dans les mains. Elle s’habille de manière tout à fait correcte, privilégiant les T-shirt et les pantalons, ne refusant pas de mettre une jupe de temps en temps. Jusque là, rien de bien étrange. Ce qui est bien plus curieux est la petite panoplie d’accessoires qu’elle porte en permanence : une écharpe arborant des ailes dorées, des gants en cuir fin, des lunettes d’aviateurs datant de la dernière guerre qu’elle garde le plus souvent sur la tête, mais qu’elle doit parfois laisser pendre autour du cou, sous l’écharpe. Cet accoutrement semble tout à fait à propos dans ce bistrot à l’ambiance vieillotte, semée de photographies d’avions et de cadrans chromés, mais elle semble plus excentrique dans son lycée où à l’hôpital, lieu où elle passe la majeure partie de son temps libre. Quand bien même vous arriviez à lui faire retirer l’écharpe, les lunettes et les gants, il restera toujours un élément dont elle refuse de se séparer quel que soit le prétexte, qui la rend facilement identifiable : autour de son cou, une améthyste pend au bout d’une chaine en or. Vous voulez en savoir plus sur cette Amétysse? Entrez, je vous en prie.

Caractère :

Vous vous asseyez à une table, elle s’approche de vous avec un sourire. « Qu’est-ce que je te sers? » Vous l’avez remarqué, Amétysse ignore tout du vouvoiement. Ayant été élevée dans ce bistrot, il lui manque quelques règles de politesse dont elle se passe sans problèmes ; son langage peu parfois frôler le vulgaire, même si elle y fait un peu attention, son franc-parler amuse beaucoup les habitués du bistrot, les malades dont elle s’occupe, mais ses professeurs le voient d’un plus mauvais œil. Pour le moment, son visage est souriant, mais ne vous y fiez pas, dans moins d’une minute elle pourra être dans une colère noire. Cette jeune fille est d’un lunatique assez incroyable, passant d’un sentiment à un autre avec une rapidité surprenante. Il est difficile de prévoir sa réaction face à une situation. Mais bien qu’ayant tendance à laisser ses sentiments dépasser sa raison, elle est plutôt bonne comédienne et capable de mentir pour se sortir de situations délicates : ayant été bercées d’histoires à dormir debout, elle aime en raconter à son tour. Elle mime parfois de prendre les choses à la légère, mais en vérité elle a tendance à tout prendre très à cœur.
Regardez, je vous l’avais dis: elle était tout sourire il y a moins d’une minute, et elle est désormais en train de criez après un client qui a trop bu. Ne vous inquiétez pas, Amétysse semble souvent se fâcher, mais elle a trois sortes de colères: celle qu’elle a avec les malades qui abandonnent la lutte ou les alcooliques, où elle leur crie dessus avec des larmes dans les yeux, pour les secouer, ce qui trahit son inquiétude; celle où elle a une attitude plus boudeuse, hargneuse, qui exprime un agacement, une désapprobation, où elle envoie les gens « se faire voir »; enfin, il y a la véritable colère, celle qui durcit son regard et ses mots, la rend parfois effrayante. Mais même dans ce dernier cas, jamais elle ne lèverait la main sur qui que ce soit; la violence la révulse. Voyez? Elle a déjà cessé de le houspiller. Elle lui parle doucement, lui proposant de s’allonger un instant le temps de décuver. Serviable, me dites-vous? Plus ou moins. Disons que c’est une jeune fille très ouverte, qui ne juge pas sur les apparences (tout comme elle n’aime pas être jugée sur sa tenue). Elle a un rapport avec autrui assez particulier: elle considère toujours une personne qu’elle rencontre comme sympathique, et décide après, quand elle la connait un peu mieux, si c’est quelqu’un digne de confiance ou un « abruti aussi malin et intéressant qu’un rat d’égout ». Elle n’aime pas voir la souffrance chez les autres et va tout faire pour la soulager, allant des câlins aux remontrances salées, en passant par l’oreille attentive. Réprimander quelqu’un qui baisse les bras est sa manière d’exprimer son inquiétude. Bref, elle a tendance à avoir une attitude assez protectrice, presque maternelle. Etrange, pour une enfant abandonnée, non? Pour elle, personne ne mérite de souffrir et elle peut prendre la défense de n’importe qui: d’après elle, même l’être le plus abject à le droit de vivre. Une philosophie intéressante, je trouve. Mais c’est cette attitude protectrice qui la pousse à trainer les hôpitaux et les cliniques pendant son temps libre.
Cette demoiselle est d’un naturel vif, optimiste, elle déteste les fioritures et les rond-de-jambes: Elle adore donner des surnoms aux gens, dans la mesure du possible. Elle préfère « Tyss » à son nom entier, ne supporte pas que l’on lui donne du « mademoiselle ». Elle a tendance à être assez fatigante à cause de son côté lunatique, mais est plutôt attachante. Du moins, c’est elle qui s’accroche à vous, si elle vous aime bien. En fait, il semblerait que ce caractère ouvert, ses réactions rapides et imprévisible, son besoin de prendre soin de ceux qui souffre sont dû à un refus total de rester indifférente.
Bien, il me semble avoir fait le tour du caractère de cette drôle de demoiselle. Je vois se bousculer sur votre visage des questions que vous n’osez poser. Elle aurait été abandonnée? Pourquoi une gamine de seize ans vit dans un bistrot et traine dans les hôpitaux ? Prenez le temps de savourer la bière qu’elle vient de vous servir et écoutez.



Histoire :

- Cette fois, c’en est trop! hurla la femme.
Son mari, l’air stupéfait, semblait du même avis. Cette gamine qu’ils n’avaient jamais voulu, qu’ils devaient pourtant nourrir et garder sous leur toit, avait fait tomber la fâcheuse goutte d’eau. Quelques heures plus tard, la petite fille était assise sur le bord d’un trottoir, toute seule, attendant peut être que quelqu’un vienne la chercher. Ils ne la revirent plus jamais.

Quand la femme annonça qu’elle était enceinte, ce fut une mauvaise nouvelle pour eux deux. Un enfant était de trop dans ce couple bancale, dont l’amour fait de disputes, de coups, de réconciliations et d’alcool était coincé entre les murs d’un appartement minuscule. Leurs salaires leur suffisaient tout juste à payer leur nourriture, leurs bouteilles, leurs cigarettes; le loyer était en retard depuis si longtemps que le proprio avait fini par abandonné l’idée d’être entièrement remboursé. Que viendrait faire un enfant là-dedans? Ni l’un ni l’autre n’en avait envie. Pourtant, la femme ne put avorter. On lui avait toujours décrit cet acte comme un meurtre. Tant pis. Elle devrait garder le bébé.
Quand, neuf mois plus tard, elle tenait entre ses bras le petit être remuant et pleurnichant, elle n’éprouva aucun amour, aucune trace d’affection, comme si cette fille n’était pas la sienne. Ce n’était pourtant pas de la haine. Simplement de l’indifférence. Le père posait sur l’enfant un regard tout aussi vide de sentiments. Ils la gardèrent pourtant dans leur petit appartement crasseux, la nourrissant quand elle avait faim, la lavant quand elle était sale. C’était tout. Jamais il ne leur venait à l’idée de jouer avec elle, de la prendre dans leur bras, de gazouiller au dessus de son lit. Ils n’en avaient ni le temps, ni la patience, ni l’envie. Elle passait la majorité de son temps dans son lit-cage, l’un des seuls objets indispensables qu’ils lui avaient acheté; la gamine n’avait quasiment aucun jouet, aucune peluche. Pourquoi gaspiller de l’argent pour cela, puisqu’elle les abimerait et s’en lasserait? Quand elle grandit un peu, ses parents la laissaient se trainer à quatre pattes dans l’appartement, la guettant vaguement du coin de l’œil pour vérifier qu’elle ne touche à rien. Ils n’utilisaient même pas le nom qu’ils avaient rapidement donné à la maternité. C’était «la gamine», ou «la môme». Les seules choses que la gamine possédait étaient un ou deux jouets d’éveils, une grosse peluche de lapin et, autour de son cou, une améthyste au bout d’une chaine en or. Malgré les perpétuelles remontrances de sa femme, l’homme avait toujours refusé de vendre le collier. Pour une raison obscure, il l’avait donné à sa fille. Un jour, la gamine avait faillit s’étouffer avec la pierre précieuse. Les parents avaient hésité un instant; après tout, ce n’était qu’un accident, et les voilà débarrassé… pourtant, l’homme avait fini par sauver la môme. Peut-être parce qu’il tenait à l’améthyste.
Régulièrement, la gamine assistait aux violentes disputes du couple. Un jour, quand l’homme poussé à bout avait frappé sa femme, celle-ci avait crié :
- Tu aurais dû me tabasser comme ça quand j’étais enceinte! Au moins, j’aurais perdu le bébé!
Ils hurlaient, frappaient, l’un ou l’autre partait parfois pendant plusieurs jours, puis revenaient, s’excusaient, pleuraient, se juraient de s’aimer. C’étaient les étranges règles de cet amour; car, même dans leurs disputes, ils ne se haïssaient pas.
Un soir où sa femme était partie, l’homme noyait son départ et les échos de la dispute dans l’alcool. La gamine le regardait. Quelques jours plus tôt, elle avait observé sa mère qui, dans les mêmes circonstances, pleuraient devant son verre. L’air perplexe, la môme avait prit une bouteille pour en renifler le contenu. Heureusement, il ne lui vint pas à l’idée d’y goûter. Son père ne l’aurait pas arrêtée.
Ils n’avaient levé la main qu’une fois sur la gamine. Mais frapper un gosse n’apportait que des problèmes. De plus, ils n’avaient aucune raison de le faire. Habituée à l’indifférence, la môme ne cherchait pas à attirer l’attention de ses parents. Au contraire, elle semblait presque chercher à disparaitre. Elle ne demandait aucune preuve d’affection. Elle ignorait ce que c’était. Elle pleurait parfois quand elle se faisait mal, mais cela ne lui valait que des regards noirs ou vides. Elle retenait ses sanglots. De temps en temps, elle réclamait un objet placé hors de sa portée. On ne lui donnait jamais. Elle ne demandait plus.
D’ailleurs, elle ne parlait pas beaucoup. Aucun de ses parents n’avait cherché à lui apprendre. Elle balbutiait juste doucement les insultes qu’ils se jetaient au visage, les mots de réconciliation. Jamais elle n’avait prononcé les mots «papa» ou «maman» ; tout comme eux n’avaient jamais dit: « ma fille». Elle avait apprit à marcher toute seule, en se tenant aux meubles et aux murs. On ne l’avait jamais félicité pour ce succès. Ils vivaient leur vie sans elle, elle était juste un parasite qu’il fallait nourrir alors qu’ils n’avaient pas d’argent et qui prenait de la place dans ce tout petit appartement. Mais un parasite auquel ils n’accordent pas la moindre attention. Juste de temps en temps, pour vérifier qu’elle ne fasse pas de bêtises. Quand à elle, elle observait leurs disputes, les coups. L’alcool semblait lui faire peur et la cigarette la faisait tousser. Ils ne s’en étaient pas inquiétés. Cette gamine, ils ne l’avaient jamais voulu. Pourquoi s’en occuper plus que nécessaire?
Un jour, alors qu’ils se remettaient tous les deux d’une épouvantable gueule de bois, la gamine les observa longuement. Dans sa tête de petite fille, une évidence s’était imposée : quand ils buvaient ces boissons qui sentaient fort dans les bouteilles en verre, ils étaient malheureux, comme aujourd’hui. Il fallait donc se débarrasser des boissons. Simple, non? Elle avait donc fait tomber les bouteilles, restes de la veille, qui trainaient sur la table. Toutes s’étaient brisées en un fracas épouvantable, répandant leurs contenus sur le sol en un mélange infâme et dangereux hérissé d’éclat de verres. Perte douloureuse pour le couple.
- Cette fois, c’en est trop!
La femme avait hurlé, des larmes dans les yeux.
- Je ne supporte plus cette gosse! Je ne veux plus la voir! Je ne veux plus la garder sous mon toit! Je n’en veux pas!
Son mari ne l’avait pas contredit, loin de là. Deux heures plus tard, la mère avait posé la gamine devant un petit bistrot tranquille, le Phillies. Elle avait commencé sa vie dans l’alcool et la fumée de cigarette, dans un lieu où le couple se fuyait. Un bistrot était le moindre dépaysement.
- Ne bouge pas d’ici.
La môme s’était assise sur le bord du trottoir et avait regardé sa mère partir. La femme ne s’était pas retournée. Dans l’appartement, le père se rendit compte qu’il n’avait pas récupéré l’améthyste. Dommage. Il y tenait beaucoup.

Elle avait deux ans quand elle fut abandonnée devant le Phillies. Inquiets de voir cette gamine toute seule dehors, les habitués du bistrot lui avaient posé quelques questions. Comme elle ignorait son nom, le concept même de «papa» et «maman», ils comprirent que le cas était grave. Ils l’avaient fait entrer, il valait mieux que l’enfant attende au chaud que toute seule dans la rue. Le soir, personne n’était venu la chercher. Les autorités furent prévenues. Il fut entendu qu’elle resterait au Phillies jusqu’à ce que ses parents viennent la récupérer. Personne ne vint, le provisoire dura. Ses parents ne furent jamais retrouvés, personne ne réclama l’enfant, personne ne semblait la connaitre. Elle fut finalement adoptée par Laurent et Marina, les propriétaires du bistrot, prenant du même coup le nom du lieu où elle avait élu domicile: Phillies. Ils lui donnèrent pour prénom un hommage au seul objet qui la rattachait à son ancienne vie: Amétysse. La fillette ne considéra jamais Laurent et Marina comme ses parents. Elle n’avait pas acquit véritablement ce que c’était.
Elle grandit au bistrot, aidant Laurent et Marina à tenir la boutique. Elle était rapidement devenu une sorte de mascotte, les habitués formaient pour elle ce qui ressemblait à une famille. Le père de Laurent ayant été aviateur pendant la guerre, le Phillies en gardait les stigmates avec des sièges en cuir, appareils chromés et photos d’avions un peu partout. Amétysse avait hérité des vieilles lunettes en cuir que portait le créateur du Phillies pendant ses vols. Elle y ajouta rapidement las gants et l’écharpe frappée des ailes dorées. Elle ne gardait aucun souvenir de ce qui s’était passé avant son abandon et s’en fichait. Elle n’avait gardé que quelques certitudes, comme le fait que personne ne devait rester dans l’indifférence, et en avait perdu d’autres, comme croire que l’alcool rendait malheureux. L’alcool pouvait rendre heureux ou triste, c’était à celui qui buvait d’en décider. Son regard était plutôt tourné vers l’avenir. Elle était fascinée par les histoires que racontaient Stéphane, un médecin qui venait presque tous les soirs au Phillies. C’était décidé: elle deviendrait infirmière, elle sauverait des vies et soulageraient ceux qui souffrent. Dès qu’elle le put elle passa sont brevet de secourisme; Stéphane compléta ses connaissances, elle avait pas mal de connaissances théoriques sur la manière de s’occuper d’une blessure plus ou moins grave. Elle reçut une trousse de premiers secours qu’elle garde sur elle en permanence. A 14 ans, à force d’insistance, elle entra dans une association de service de visite aux malades, où elle passait ses week-ends et ses vacances à l’hôpital, malgré son jeune âge. Cette routine lui plaisait; la journée au lycée, le soir à servir au bistrot et le week-end à rassurer, câliner ou réprimander les malades. L’hôpital était pour elle une vocation.
Toujours dans les cours particuliers, un professeur de sport lui avait apprit la self-défense ; cela n’avait d’abord pas beaucoup plus à Amétysse, toujours dans le refus de faire du mal à qui que ce soit. Mais elle avait fini par accepter le principe : « en cas d’agression, c’est lui ou toi ». Elle était donc capable de mettre son agresseur au tapis et de le soigner juste après. Autant dans la plaisanterie que dans la réalité.
Un jour, dans une clinique, un vieil homme dont elle prenait soin depuis plusieurs semaines lui avait offert pour la remercier un étrange livre à la couverture de cuir, sans titre. Sans trop savoir pourquoi, Amétysse n’avait pas apprécié le petit sourire du vieillard quand il lui avait tendu l’objet. Le soir, elle était rentrée au bistrot, s’était servit un verre de pastis noyé dans beaucoup d’eau pour se poser dans un fauteuil à l’écart des conversations bruyantes.
- A la tienne, marmonna-t-elle ironiquement pour le vieil homme absent.
Elle ouvrit le livre à la première page et tomba sur une étrange comptine. Les conversations moururent autour d’elle, le confort feutré et la décoration vieillotte du Phillies disparurent. Stupéfaite, elle vit qu’elle se trouvait désormais dans un endroit inconnu, en plein air, avec une enveloppe dans la main. Qu’est-ce qui se passe?! Elle ouvre l’enveloppe, tombant sur la mystérieuse note : « Pour rentrer chez toi, il faut chercher! Mais chercher quoi? La clé! ». Amétysse décida de voir les choses du bon côté: elle était tombée dans ce monde avec son améthyste, ses gants, ses lunettes d’aviateur, son écharpe; cela aurait été douloureux de s’en passer si longtemps. Elle avait même sa trousse de secours. Et visiblement, elle pourrait rentrer chez elle. Que demander de plus ?



Votre but dans tout ça ? : Donner un coup de main à ceux qui en ont besoin avant de rentrer au Phillies
Autre chose à dire sur votre personnage ? : Si elle possède bien un nom de famille -Phillies-, cela ne représente rien pour elle, elle considère qu'elle n'en a pas. Elle s'appelle Amétysse, c'est tout.








Détails pour nous
Groupe de Votre Personnage : Je dirais Arlequin, non?

Une Demeure ? : Aucune

Un Rang Personnalisé ? :








Le forum & vous
Votre Prénom : Charlène
Votre Âge : 17
Comment avez-vous connu le Forum ? : Je connais un membre du forum, je ne dirais pas qui ^^
Qu'en pensez vous ? : Pour l'instant, ça a l'air sympa!
Que pensez vous du thème ? : La classe!
Des Suggestions ? : Aucune
Code : [zyup !]
Quelques mots ? : Je suis une Nooby, heeeelp...!



Dernière édition par Amétysse le Jeu 16 Fév 2012 - 10:28, édité 3 fois
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Feu Edward Deakin
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MessageSujet: Re: Amétysse   Amétysse Icon_minitimeMar 14 Fév 2012 - 0:56
Bienvenue, jeune fille. =)

Ta fiche est bien écrite et tout y est. Cependant, j'ai vraiment beaucoup de mal avec le coup de l’abandon. Je ne crois pas que dans la réalité ça se serait passé comme ça. Une gamine de deux ans assise sur un trottoir toute la journée toute seule, sans que les passants ne préviennent la police et les services sociaux... Ca me semble un peu gros.
A la limite, tu pourrais rajouter cette partie et dire que les gérants du bistro se sont proposés pour être sa famille d'accueil ou quelque chose dans le genre. Après, je ne suis pas très familière avec toutes les démarches administratives et comment ça se passe, mais ça me paraîtra un peu plus crédible. ^^

Pour le reste, tout est impec' !
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Amétysse
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MessageSujet: Re: Amétysse   Amétysse Icon_minitimeMer 15 Fév 2012 - 17:58
Corrigé! Enfin je crois... Cela me semble plus crédible en tout cas ^^'
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Feu Edward Deakin
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MessageSujet: Re: Amétysse   Amétysse Icon_minitimeMer 15 Fév 2012 - 18:44
Une dernière chose, mam'zelle. Normalement, dans le règlement, il est stipulé que ton pseudo doit se composer d'un nom et d'un prénom. Peut être que tu n'as pas mis Phillies parce que ce n'est pas son vrai nom, ce que je peux concevoir et qui ne me dérange pas outre mesure, mais il aurait été gentil de le préciser dans par exemple "autre chose à dire sur votre personnage" ou "quelques mots". C'est juste qu'on s'embête à écrire un règlement et si tout le monde passe outre une règle, on va plus s'en sortir. =)

Bref, tu es validée ! Je suis désolé de cette petite mise au point, plus haut, mais faut partir sur des bases saines et claires, belle demoiselle ! ='D

N'joy !
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Joachim Death
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MessageSujet: Re: Amétysse   Amétysse Icon_minitimeMer 15 Fév 2012 - 20:38
Bon rp honey! Contente de voir quelqu'un avec une bonne orthographe ; )
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MessageSujet: Re: Amétysse   Amétysse Icon_minitimeMer 15 Fév 2012 - 20:47
MUAHAHAH Tu a l'honneur d'avoir le WELCOME du sublime et divin NARCISSE !! #Sbaf couché Narc #

-Tousse- BREF......Bienvenu parmi nous ~<3
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MessageSujet: Re: Amétysse   Amétysse Icon_minitimeMer 15 Fév 2012 - 21:39
Je te souhaite la bienvenue parce qu'il ne faut pas effrayer les nouveaux

Fuh fuh...
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MessageSujet: Re: Amétysse   Amétysse Icon_minitimeJeu 16 Fév 2012 - 10:31
Merci beaucoup, votre accueil me touche énormément =')

J'ai ajouté des précisions sur l'absence de nom de famille dans "autre chose à dire sur votre personnage?". Toutes mes excuses...
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MessageSujet: Re: Amétysse   Amétysse Icon_minitimeVen 17 Fév 2012 - 17:16
U,U Vu que j'arrive toujours trop tard sur la Chatbox...

Bienvenue à Toi ^.^

Ne t'inquiète pas ^^ comme tu te qualifie toi-même de noobie tu es toute pardonnée xDD
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MessageSujet: Re: Amétysse   Amétysse Icon_minitime
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