Petit humain, mais qu'as-tu fait ? Ouvrir ce livre, pris de curiosité ! Quelle grave erreur, car dès maintenant, les contes te garderont pour eux !
La seule manière de t'en sortir, c'est de te battre et survivre. [RPG Survival Conte&Humain]
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 Vagabond

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Lunari
LunariPestiferéPestiferé


Date d'inscription : 08/03/2012
Age : 30

Messages : 40
Localisation : quelque part entre New-York et Tokyo
Emploi/loisirs : ne faire que ce qu'il me convient de faire
Humeur : changeante

Still There
Lecteur ou Conte (lequel) ?:
Arme(s): une épée, mon intelligence
Un petit mot ?: je suis Libre

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MessageSujet: Vagabond   Vagabond Icon_minitimeMar 13 Mar 2012 - 21:15
Nom : Nodul
Prénom :Lunari
Surnom : ...
Sexe : Masculin
Âge : 19
Origine : monde des humains.
Orientation Sexuelle : hétérosexuel



Tout sur votre personnage

Physique :


Approchez. Oui vous! Approchez! Prenez une chaise et observez. l'homme là-bas. Un beau jeune homme s'il en est. Commençons par ce qui semble l'identifier au premier abord. Ses cheveux longs aux teintes dorées ne nous disent qu'une chose: c'est un vagabond. Néanmoins, un vagabond coquet! Un seul de ses quatre boutons de manchette en or nous en dit plus sur ses gouts en matière d'élégance que l'ensemble des ses cheveux, n'est-il pas? Mais passons car, le plus important chez ce jeune homme, ce qui révèle véritablement son identité, c'est son visage, un véritable oxymore à lui tout seul. Admirez la finesse de ses traits. Admirez comme ils permettent au nez de fondre sur le haut de ses joues, serties soit dit en passant de mignonnes pommettes. Admirez ses yeux, d'un bleu profond, certes pas le plus beau, mais le plus vrai que j'ai jamais vu; assortis de surcroit de sourcils semblables à des bijoux tant ils sont finement ciselés. mais alors, pourquoi est-ce un oxymore me direz-vous? Et bien je vous répondrai tout simplement que sous ce visage d'ange se cache une expression dure, triste et sans espoir.
Comment? Vous trouvez réellement que je m'attarde un peu trop sur le visage, au combien gracieux, de ce jeune homme? Qu'à cela ne tienne! Penchons nous plus avant sur le corps! Que dire... bien entendu au premier abord, rien de bien particulier: 1m78 (environ), de longues jambes, de longs bras... à priori, un jeune homme en bonne santé physiques! Mais vos yeux sont incapables de voir au delà des apparences! Car ce qu'on ne vois pas, ce sont ses multiples mutilations. Sa collection de cicatrices ferais frémir jusqu’à un seigneur de guerre. La plus petite ne mesure pas plus d'un centimètre. La plus longue s’étend du bas de son omoplate gauche au creux de ses reins. Mais la plus douloureuse demeure au creux de sa main droite. Celle ci, il ne la dissimule jamais. Contrairement au reste de ses blessure qui en disent finalement long sur sa hardiesse, et qu'il cache à la vu du monde en s'habillant , été comme hiver, de vêtements amples lui donnant une allure imposante. Mais mes amis, l'apparence physique n'est rien pour définir un homme. je vous laisse le soin de juger par vous même de quoi il retourne aux tréfonds même de son esprit. Vous n'aurez aucun mal à le faire; l’âme la plus tortueuse s'ouvre toujours à qui veux bien écouter son histoire.

Caractère :


Lorsque je me suis assis en face de lui, la première chose que j'ai remarqué c'était la dureté de ses mimiques. Implacables. Sans appel. J'ai dis "bonjour". Il ne ma pas répondu et m'a toisé comme pour estimer si j'étais digne des son attention. Après plusieurs minutes, il m'a tendu sa main mutilée afin que je la serre. Ensuite, les mots se sont enchainés en une véritable joute verbale. Jamais je n'avais rencontré une personne aussi complexe. Il semblais jouer avec la langue, de manière à ne jamais révéler ce qu'il pensais. Sont esprit était visiblement dérangé, sans qu'on puisse pour autant le qualifier de fou. Il paraissais s'amuser avec moi, comme si pour lui je n'était qu'un jouet comme un autre. Et il était mesquin. Terriblement mesquin. Je me souvient qu'à chaque fois que j’essayais d’esquiver un de ses questions gênantes, il me poussais dans mes derniers retranchements aussi facilement qu'il aurait noyé un chaton et me contraignais à répondre. Une fois c'est amusement passé, il a voulu jouer aux énigmes. Mes premières joies se sont vite évaporées et le jeu s'est vite terminé. Il était intelligent. Redoutablement intelligent. A peine avais-je prononcé une phrase que la suite de l'énigme lui venait à la tête et la réponse aux lèvres. Cet homme se réjouissait de me voir ainsi désorienté. cette désorientation qui me poussait à consommer au bar et cet homme qui me poussait à lui offrir des verre et me dépouillait au jeu auquel nous nous adonnions ont rapidement eu raison des quelques sous que je conservait dans ma bourse. Et lui, cet homme, de s'en réjouir. Il était cruel. Affreusement cruel. Puis j'ai eu envie d'en savoir plus sur cet homme qui n'avait cessé de poser les questions sans jamais y répondre. Je me suis alors mis à le questionner sur son histoire. Il a été surpris. Agréablement surpris. Il a donc entamé un récit complet de ses aventures, ses amours ses haines ses joies et ses peines. Lorsqu'il a eu fini, il m'a demandé de prendre congé. N'ayant plus d'argent, il a voulu payé mes consommations à ma place et ma rendu l'argent qu'il avait gagné au cours de notre jeu, jugeant le duel inégal. Il était bon. Vraiment bon. En sortant du bar, je n'ai put m’empêcher de repenser à ce qui venais de se dérouler. Cet homme n'avait cessé de commenter mes moindres faits et gestes, mes moindres paroles avec un détachement que je n'avais jamais vu chez personne; sans jamais prendre parti. C'est homme était juste. Juste.

Histoire :


Lorsque j'ai vue cet homme, j'ai ressentis une profonde nostalgie. Il y a bien longtemps qu'on ne m'avait pas parler. Puis il s'est intéressé à mon histoire. De mémoire d'homme ce devait être le premier à y porter un intérêt gratuit depuis bien longtemps. Je me suis alors mis à lui conter cette histoire. Je vous la livre tel que je lui ai livrée à lui.

Je suis issu d'un milieu aisé. C'est rien de le dire. Mes parents sont de riches millionnaires, chef d'une organisation qui exporte des produits manufacturés. J'ai eu l'enfance d'un gamin gâté de ce dont il n'avait pas besoin et j'étais promis, dès ma naissance, à reprendre l'entreprise familiale. Tout ce que je faisais était approuvé et malgré mon jeune age, je ne rencontrais aucun obstacle sur le chemin de mes entreprises. J'étais le maitre du monde. Un petit maitre, encore sous la tutelle de ses mentors, mais un maitre tous de même. Rien ne semblait mettre en cause mon avenir tout tracé. Puis quand j'ai eu l'age de lire, tout a changé.
Je me suis révélé être un élève appliqué à l'art de la lecture et de l'écriture. Les livres ont peu a peu remplacés les babioles que mes parents m'achetaient, ils ont commencé à tapisser les murs et le sol de ma chambre. 100, 200, 300... je n'était jamais rassasié. Ça n'a l'air de rien un livre. Seul. Un amas de papier sur lequel est gravé une série de caractères. Mais si l'on multiplie ce livre, lui donne une suite, une opposition par l’intermédiaire d'autres livres, il ne conserve pas bien longtemps sont statu de livre. Il devient vie. C'est un tissu vivant et toujours plus complexe que l'on réalise en lisant. et la vie que j'avais avant, composé de babioles et d'artefacts inutiles a été remplacée petit à petit par cette vie que je tissais. J'ai appris à penser par moi même. J'ai alors pris conscience que gérer des comptes, des exports, des affaires, une fortune, cela ne m’intéressais plus. Je souhaitais voyager. Voyager, voir le monde, vivre des aventures semblables aux romans que j'avais lu. Ma plus grande erreur a été de faire part de mes projets à mes parents. Mes sots de parents. C'était un soir d'automne. Ils ont d'abord ri face à ma requête, croyant à une mauvaise plaisanterie. Mais lorsqu'il leur est apparu évident qu'il n'en était rien, mon père est entré dans une fureur noire. Il m'a hurlé de sortir de la pièce et d'aller dans ma chambre. Ce que j'ai fait, compréhensif. C'était tout son univers qui s’écroulait. Ce qu'il a fait ensuite? Il m'a tout simplement jeté dehors comme on jetterait les eaux usées. Je me suis retrouvé à errer comme un chien bâtard. Je ne peu pas dire que j'étais réellement surpris de la réaction de mon père, mais elle m'était tout de même douloureuse.

Je me suis mis à voler l'argent des passants pour subsister en me promettant qu'un jour, si je faisais fortune, je redistribuerais cet or aux plus nécessiteux pour me racheter. Et avec l'argent volé, je n'ai pas acheter de nourriture ni de produit de première nécessité. La première chose que je me suis acheté, c'était une épée. Cela faisait trois jours que je n'avais pas mangé, mon ventre hurlais de rage, mais il me faillais un épée. Cela me donnais l’espoir que me donnais autrefois mes romans adorés. Seulement après, avec la monnaie rendue sur cette arme, j'ai commencé à me nourrir. J'avais seize ans quand j'en ai fait l'acquisition. Et j'étais à peine plus grand qu'elle. Et puis durant un an, j'ai mené une existence de vagabond, allant là où je le voulais. je ne me souvient pas de mes premiers combats, mais je n'ai jamais perdu la fièvre. Aujourd'hui encore je continue de me battre pour survivre, qu'elle que soient les intentions de ceux qui m'affrontent. Mais un jour, j'ai rencontré un homme. Un vagabond. Je me suis reconnu en lui. Notre altercation a été brève. Il a d'abord voulu me débarrasser de mon or. Au cours de notre combat, mon épée s'est brisée contre un rocher lors d'une manœuvre maladroite. A cet instant, il a jeté la sienne dans un soucis d'égalité. En voyant ce geste que j'aurais moi même fais, je lui ai calmement proposé l’intégralité de mon or contre un peu de son temps. D'abord méfiant, il a finalement accepté et nous avons tranquillement bavardé. Peu à peu, nous avons sympathisé. et peu a peu, nous sommes devenus inséparables. Là où le vent nous portait, nous apposions nos marques, enrichissants les légendes sur nos comptes. Nous étions invincibles, quand bien même nos corps sortaient mutilés de nos rencontres violentes. Nous étions des géants marchant sur les nains. Nous nous fîmes juges à plusieurs reprises, épargnant les combattants qui avaient besoin d'argent et traquant les assassins de la gratuité. Dans la fleur de l'age, nous étions... immortels.

Mais une telle fleur jamais ne dure que du matin jusques au soir. Voici la leçon que j'ai retenu lorsque, à l'aube d'un matin d'été, ayant traversé monts et vallées, nous aboutîmes face a un paysage étrangement familier. ma ville natale perçait la vallée à quelques kilomètres de là. Et sur la route qui en sortait, parmi les riches commerçants en voyage pour affaire, mon amis m'a désigné celui qu'il comptait détrousser. Et moi qui ne croyais pas au destin, je me suis mis à douter. Celui qu'il m'avait désigné, c'était mon père, vieillit de deux années. Deux années pleines que j'étais partit. Il m'a jeté un regard, celui que l'on jette au chiens errants et ne m'a pas reconnu immédiatement. Mais lorsque ce fut fait, il accouru vers nous comme un dément. Il a hurlé des paroles incompréhensibles à propos d'un fils qui avait quitté sa maison 4 semestres auparavant. Je ne me reconnaissais même plus dans les paroles qui sortaient de son gosier béant. Et alors, sans signe avant coureur, il a dégainé sa dague, au pommeau aussi noir que son cœur. Il a menacé de me tuer si je ne rentrais pas pour redevenir des leur. Alors, j'ai sagement dégainé ma nouvelle épée, fruit de mon labeur, et j'ai attaqué sans même avoir remarqué mes pleurs. Il était très agile et le combat fut difficile. Il nous gratifia tout deux de longues estafilades. mais la plus grande blessure qu'il m’affligeât ce jour là ce fut de tuer mon compagnon en lui plantant sa dague dans l’œil droit. Le sang coulait à flot et lorsqu'il la retira, mon ami chut, raide comme du bois. Et le coup que je portai ensuite fut fatal à l'étranger qui se trouvait en face de moi. Lorsque ce fut finit, avec un calme qui m’étonnât, je me baissai, ramassai la dague et murmurai tout bas, au coté de mon compagnon "je suis mort avec toi". Et ce faisant je m'entaillais la main avec l'arme, encore souillée de son sang, témoignage d'une époque révolue définitivement.
J'ai tenté tant bien que mal de faire mon deuil, en me plongeant à nouveaux dans la lecture, plaisir que j’avais oublié depuis bien longtemps. Mais un jour, ce que j'avais souhaité arriva bel et bien: j'allais vivre un conte de fée. Ouvrir ce livre a été pour moi une véritable surprise. Atterrir dans ce monde fantastique et dangereux n'était pas la première chose a laquelle je m'attendais.

Mais depuis ce jour la j'erre sans destination. Je n'ai d'autre but que de vivre, vivre et aimer vivre. Cela est plus dur maintenant qu'il est parti voila bientôt un an, mais avec le temps, je compte bien oublier. Oublier mes géniteurs, oublier ma ville, oublier ce genre de banalité. Mais ne jamais, jamais oublier mes livres, ni ce qu'ils ont fait de moi. Ne jamais oublier que je suis un vagabond. Ne jamais oublier que je suis libre.


Votre but dans tout ça ? : trouver des réponses
Autre chose à dire sur votre personnage ? : on dit que Lunari ne porte plus le nom de ses parents depuis qu'ils l'ont chassé. il tait le nom de son défunt compagnon, considérant qu'il ne peut le dévoiler sans sa permission. Lunari vient d'une époque charnière de l’histoire des humain: la transition entrez moyen-age et renaissance



Détails pour nous

Groupe de Votre Personnage : Arlequin

Une Demeure ? : je dors là ou je le peux. le sol est un lit convenable.

Un Rang Personnalisé ? :



Le forum & vous

Votre Prénom : *sifflements*...
Votre Âge : 18ans, presque 20.
Comment avez-vous connu le Forum ? : par un cousin qui connait un gars qui a dit un jour à un amis de la fille de son oncle (donc sa cousine à lui) de dire à son petit ami de m'inscrire sur ce forum!
Qu'en pensez vous ? : il est très bien! (un peu vert)
Que pensez vous du thème ? : fort bien pensé ma foi!
Des Suggestions ? : améliorer la clarté afin que les nouveaux arrivants ne soit pas perdu? ok! ok! j'ai rien dit!
Code : [Validé By Ed]
Quelques mots ? : cos(0)=1 et cos(180)=1. bizarre non?


Dernière édition par Lunari le Mer 14 Mar 2012 - 19:03, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: Vagabond   Vagabond Icon_minitimeMar 13 Mar 2012 - 22:47
Bienvenue !

Alors, j'ai pas grand chose à dire, puisque ce fut fait sur la box.
Pense à mettre le code que tu as trouvé dans le règlement et à remplir ton still there !

Tu seras validé juste après ! ^^
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Lunari
LunariPestiferéPestiferé


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Lecteur ou Conte (lequel) ?:
Arme(s): une épée, mon intelligence
Un petit mot ?: je suis Libre

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MessageSujet: that's all good?   Vagabond Icon_minitimeMer 14 Mar 2012 - 19:07
bien bien bien...
-fautes inattentions corrigées chef!
-still there rempli chef!
-code recopié chef!

j'ai fais au mieux, merci de vos remarques Smile
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Feu Edward Deakin
Feu Edward DeakinThe March Hare


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Lecteur ou Conte (lequel) ?: Conte
Arme(s): Mon charme
Un petit mot ?:

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MessageSujet: Re: Vagabond   Vagabond Icon_minitimeMer 14 Mar 2012 - 19:11
Well done, dude ! =D
Tu es validé !

N'joy !
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Lunari
LunariPestiferéPestiferé


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Still There
Lecteur ou Conte (lequel) ?:
Arme(s): une épée, mon intelligence
Un petit mot ?: je suis Libre

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MessageSujet: Re: Vagabond   Vagabond Icon_minitimeMer 14 Mar 2012 - 19:22
ça c'est cool!!!!
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Joachim Death
Joachim Death{Apprenti Shinigami}


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Age : 29

Messages : 365
Localisation : Tu veux vraiment le savoir ?
Emploi/loisirs : Jpeux pas tout dire~
Humeur : Gnn...

Still There
Lecteur ou Conte (lequel) ?: La faucheuse/La mort
Arme(s): /
Un petit mot ?: Je n'ai pas mérité ce qu'il m'arrive!

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MessageSujet: Re: Vagabond   Vagabond Icon_minitimeJeu 15 Mar 2012 - 18:54
Bienvenu : D
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Grisélidis Hans
Grisélidis Hans♤ Lady-killer ♡


Date d'inscription : 19/09/2009
Age : 29

Messages : 1009
Localisation : En vadrouille
Emploi/loisirs : Me cacher sous ton lit ♥
Humeur : Inconnue

Still There
Lecteur ou Conte (lequel) ?: Grisélidis (conte)
Arme(s): Ma chère Anathème [Faux]
Un petit mot ?: Où elles sont mes brebis ?

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MessageSujet: Re: Vagabond   Vagabond Icon_minitimeVen 16 Mar 2012 - 18:54
Bienvenue 8D
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MessageSujet: Re: Vagabond   Vagabond Icon_minitime
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