Petit humain, mais qu'as-tu fait ? Ouvrir ce livre, pris de curiosité ! Quelle grave erreur, car dès maintenant, les contes te garderont pour eux !
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 Grisélidis Hans : La Patience à ses limites !

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Grisélidis Hans
Grisélidis Hans♤ Lady-killer ♡


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Localisation : En vadrouille
Emploi/loisirs : Me cacher sous ton lit ♥
Humeur : Inconnue

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Lecteur ou Conte (lequel) ?: Grisélidis (conte)
Arme(s): Ma chère Anathème [Faux]
Un petit mot ?: Où elles sont mes brebis ?

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MessageSujet: Grisélidis Hans : La Patience à ses limites !   Grisélidis Hans : La Patience à ses limites ! Icon_minitimeDim 27 Sep 2009 - 15:37
Grisélidis Hans : La Patience à ses limites ! 334796Cartedidentit
Grisélidis Hans : La Patience à ses limites ! Pl10

    Nom : GrisélidisPrénom : HansSurnom :La faucheuse bleue, le chaperon bleu, Lili, Lidis, Mister H. , Wander, Whisper, Han's...Sexe :Masculin ♥ Âge :16 ans d'apparenceOrigine :Le monde des contes bien entendue !Orientation Sexuelle :Étant donné qu'Hans déteste plus que tout au monde les femmes, ont peu dire qu'il est Homosexuel, mais autant dire qu'il y a quelques petites conditions pour rentré dans sa couche...♥

Grisélidis Hans : La Patience à ses limites ! 340355Toutsurvotrepersonnage
♥ Beauté froide au sang chaud ♥
Physique :
Nature Morte

Il y a ce sang si doux, reposant sur ses habits passés de la froideur à la chaleur. Il y a se sang, mon sang. Et pour les derniers instants de ma vie bien trop courte, de ma vie qui en est éclair s’est brisé sur le sol. Je ne peux, avant que mes yeux se ferment, le contempler une dernière fois. Il ne change pas, même immaculé de cette nouvelle couleur, il ne cille pas, le monochrome de son apparence viens d’être cassé, pour une fois il ne semble pas s’en énervé. Bleu, bleu, bleu…il n’y a plus de bleu, juste son visage conserve les traces de cette couleur fétiche. Des yeux, reflétant une mer profonde, obscure, et éternellement pleine de sauvagerie. Un regard qui en quelque seconde est passé d’une rivière calme, à un océan tumultueux. Et ses cheveux, légèrement ébouriffés par l’action, se balancent légèrement devant ses iris, se confondant à celles-ci. Des cheveux, de cette étrange couleur, dans une coupe mi-longue, lui donnant un visage quasi féminin, je dit bien quasi car même si tout pousse à croire que c’est une jeune fille, il y a, ce petit quelque chose, cette petite dominance, cette façons d’être, de ce comporter comme un roi. Il est impossible de se tromper, même si sa chevelure ramené en avant est composé de deux petites couettes basses qui reposent sur le devant de ses épaules, et que sa mèche viens dissimuler quelque peu son visage, sans pour autant le manger. Non ne me regarde pas de cet air dégouté, je t’en prie, laisse une dernière fois transparaître sur tes si fines lèvres rouges comme écorchées, laisse juste encore une fois, ce si tendre sourire que j’ai réussit à capturer pour quelques secondes, même si je sais que celui-ci sera faux, laisse moi espérer que tu m’a aimé, pendant plus d’une heure, laisse moi me dire que tu ne m’oubliera jamais, alors je t’en prie, même l’un de tes sourires acérés me ferrait plaisir, même si ta peau si pâle et qui paraît si pure ne deviens plus que le reflet d’un fantôme… Rien, tu ne fait rien. Et cette belle croix accrochée au lobe de ton oreille droite, faite de diamants, est bien trop tordue à mon goût comparé à la rose azuré que tu porte à la gauche. C’est seulement un sentiment, t’ais-je donc tant mis en colère ? Pour que tout ton univers se soit mit à trembler ? Les nombreux bracelets et colliers que tu as l’habitude de mettre d’une manière très strict semblent se mélanger. Ah…mon temps s’écoule, et plus je me rapproche de se gouffre, moins je ne puis te haïr, et maintenant que toute traces de ce froid à disparut de tes vêtements, je me sens quelque peu…soulagé. Ton haut qui me fait temps pensé à un corset, avec ses fines bretelles et toute ses ficelles, me rappel maintenant, le tablier d’une gentille bouchère. C’est sa, te voilà en boucher, ou plutôt bourreaux, accomplissant ce pourquoi tu vis, se pourquoi tu respire. Et se short trop court avec ses poches, que je paris, pleine de friandises, me fait réfléchir au faite, qu’il n’existe pas d’enfant boucher, mais puisque tu es un bourreau, je suppose que c’est en ordre. Écrasé par terre comme une infortuné, le souffle me manque, mais tu t’en vas déjà, faisant retentir, le son de tes très haut talons, te trouve tu si petit que ça ? Même si tu l’es, moi je trouvais ça plutôt mignon. Et toujours, ses hautes bottes un peu trop grandes, claques comme un fouet sur le parquet bordeaux, leur bout pointue semblent agresser la poussière, il n’y a que leur grands lacet et leurs gros nœuds de papillons sur leur côtés pour les adoucir. Et tu pars…mon petit chaperon, faisant voltiger celui-ci derrière toi cachant la finesse de ton corps. Tel une sombre cape, car je me demande bien a quoi sert cette capuche, si tu ne porte que se chapeau militaire qui te rend si austère ? Avec ce trèfle entouré d’ailes cousues dessus. Tu pars, et je me meurs. Tu pars, et je ne respire plus. Il ne reste plus beaucoup de temps, et je n’ai même plus assez de force pour crier ton prénom. Mes yeux se ferment, emportant comme dernière images, cette grande faux bleuâtre et tâché de ma vie, que tu traîne lourdement derrière toi. Se métier ne te convient vraiment pas, mon doux petit monstre.

Caractère :
Lilith : L’instabilité

Comme le calme et la tempête. Tel une lumière clignotante…blanc, noir, blanc, noir, rouge, bleu… d’une nature si controversé. D’un caractère tellement changeant. Hans est un terrible caméléon, mais il ne s’adapte pas avec son environnement, il s’adapte avec ses sentiments. Pas besoins de se contrôler, cela n’engendre rien de très bon. Pas la peine de se retenir, il a tout les pouvoirs. Lorsque le temps est bon profitons-en ! Lorsque les nuages grondent, laissons-nous envahir par ce sentiment de destruction. Faisons-en sorte, que l’ont se souvienne de nous sous toute les coutures ! Voilà ce que pense le jeune Grisélidis. Il n’y a pas réel autre mot pour le décrire en généralité. Prenez garde à ses sautes d’humeur, et dites vous que la gentillesse chez lui, ne dure pas infiniment. Soyez toujours à l’affut ! Lui ne vous louperas pas, il pourra très bien, décider sur un coup de tête, de vous en mettre un ! Rien ne l’empêche de vous tuer, puis une fois que votre corps repose en paix, de venir pleurer sur votre tombe. Il n’a pas de raison, pas de logique, si ce n’est la sienne, comme nous dirons : le cœur à ses raison, que la raison ignore. Ce serait la meilleure citation pour le décrire. La neutralité chez lui n’existe pas, c’est blanc ou noir, bleu ou rouge. Les explications sont si encombrantes, il préfère bien laisser son corps parler. Mais ce n’est pas pour autant qu’il ne réfléchit jamais, on pourrait même dire qu’il réfléchit trop, se perd, se tord, s’étouffe, si bien qu’il explose sans raison apparente. Allons ne vous en faites pas, ce n’est pas de votre faute. Il y a des gens comme cela, qui ne faut pas seulement prendre avec des pincettes, mais qu’il faut aussi attraper en armure, pour être sûr de ressortir indemne. Il a beau être très petit, il n’en reste pas moins un grand criminel, ses colères noires sont comme des typhons de quelques secondes, qui pendant ce laps court de temps ont bien le temps de rayé plusieurs villes d’un pays, laissant seulement la désolation derrière eux. Mais c’est beau être un criminel, ça n’en reste pas moins un enfant, même si il n’éprouve pas a proprement parler de réel remords concernant ces action, il suffit juste parfois d’un peu de gentillesse, pour transformer un monstre en adorable prince, quelques gâteries peuvent bien faire l’affaire…Ne prenez pas peur ! Il n’est pas dit qu’il soit tout le temps d’une humeur massacrante, il sait aussi être compréhensif et doux, presque comme un agneau…

Asmodée : La cruauté

Alouette, gentille alouette…il vous plumera ! Rira de votre malheur ! Vous fera tomber en enfer ! Car il ne connaît pas ce que les humains nomment pitié. Car il ne porte pas d’importance à tout ce qu’il ne le touche pas directement. Préparez-vous à aller faire un tour chez Lucifer, frisson garanti, ou (méchamment) remboursés. C’est un aspect de son côté obscure, vous n’y échapperais pas. Qu’il se comporte galamment ou pas, ça ne change rien, c’est une parti de lui à part entière, qu’il se plaît à entretenir régulièrement par quelques petites tortures, quelques petits massacres, rien de bien horrible en soit. C’est comme ça point finale, sa gourmandise et son adoration pour la chair et pour le sang doit y être pour quelque chose, mais en même temps, comment est possible pour un vampire anthropophage de ne point être cruel ? C’est, vous l’aurez bien comprit, je pense tout à fait impossible. Et comme dit plutôt la pitié ne fait pas partit de son registre, elle à même tendance à le tirailler, voir une personne qui pourrait l’inciter à une certaine pitié lui donne envie de l’écraser de le déchirer en des millions de petits morceaux. Il aime vos cris, vos coups désespéré, rien n’est plus beau à son goût qu’un corps déchiqueter, qu’une âme humilié. Et ceux qui se rebellent, ceux qui dégage de la répartie, ceux qui se défendent, ceux-là, gagne un peu de son respect, un peu de sa tolérance. Mais ce genre de situation est très rare, lorsque vous voyez un malade qui tout en riant vous court après avec une grande faux en vous hurlant des mot doux suivit de quelques horreur…comment réagirez-vous ? C’est plutôt déstabilisant, vous n’avez pas l’habitude n’est-ce pas ? Vous fuirez non ? Il n’y a qu’un fou, qui pourrait répondre à une telle invitation… Ah ! Excusez-moi ! Peut-être êtes vous fou…il y en a tellement part ici…donc voyez-vous, il ne faut pas se fier à son apparence angélique, dès que vous apercevez un regard un peu trop perçant, un sourire légèrement carnassier, ou un petit rictus narquois, partez ! Courez ! Volez ! Et ne restez en aucun cas à ses côtés, dans sa tête, vous êtes déjà au menu du jour. Allez, ne pleurez point, ça vas bien se passé vous verrez…

Lucifugus : Le rejet / Hamiel : La victoire

Jamais il n’acceptera. Jamais il ne voudra voir cette vérité. En aucun cas il se pliera à telle ou telle autorité. Indomptable, sauvage à l’extrême. Rien ne se vaut à lui, il est le maître, le plus fort. Obstiné dans chacune de ses actions, téméraire et courageux dans chacun de ses combats, borné dans chacune de ces pensées. Rien ne sert d’essayer de le raisonner, il ne comprendra pas, vous repousseras, se mettra en colère. On ne discute pas avec lui, on se tait et on obéit, et si vous n’êtes pas d’accord…vous passerez sous sa lame. Il ne cherche pas midi à quatorze heures, la défaites est pour lui synonyme de vengeance, la victoire de gloire et de supériorité. Il est le meilleure, c’est une vérité, et quiconque osera prononcer le contraire se retrouvera face contre terre ! Rien à faire, il va toujours au bout de lui-même, poussant tout ce qui le gène, ignorant ses meurtrissures, ne laissant aucune place à l’amour dans son cœur glacé jusqu’aux artères. On ne badine pas avec les fous, ou ils badineront avec nous ! Hans est un très bon exemple de cette phrase.

Histoire : Bon au final comme je n'arrive pas à me décider à rentrer dans les détails (puisque j'aime bien garder un peu de matières au niveau du passé) je vais faire un bon résumé de l'histoire de mon petit bleu préféré histoire que plus personne soit complètement paumé. (et aussi parce que ça craint du boudin).

Hans est né dans une famille très modeste vivant dans le royaume de Crudelis. Sa famille habitait un peu à l'écart d'un petit village, en forêt, car son père en plus d'être berger, était bucheron. Sa mère était une femme aveugle qui restait à la maison pour s'en occuper. Hans possédait une petite sœur, qui possédait 3 ans d'écart avec lui. Les deux enfants se ressemblaient comme deux gouttes d'eau, dans le sens ou Hans avait (et a toujours) un visage très féminin, que les deux avaient de longs cheveux bleus (héritage de leur mère) et les yeux bleus (héritage de leur père). Hans s'occupait avec sa petite sœur prénommée Maria de garder le troupeau, de les amener paître, bref, d'être berger. Pendant ce temps, le père avait plus de temps pour exercer sa profession de bucheron ou pour s'occuper du potager. Il s'agissait d'une famille qui vivait quasiment en autarcie, il leur arrivait néanmoins très souvent de passer au petit village le jour du marché. Le père a appris à ses jeunes enfants à lire et à écrire à minima. Il ne voulait pas que si ses enfants décident de voler de leurs propres ailes, qu'ils se retrouvent bloquer à cause d'illettrisme.
Jusque-là tout va bien, il s'agit d'une famille tout à fait comme une autre. Sauf que, il se trouvait un petit seigneur voisin qui avait besoin de trouver une femme. Son problème était qu'il posséda une grande sœur ultra possessive, et que les quelques femmes dans lesquelles il montrait de l'intérêt mourraient très souvent ou disparaissaient. Le petit seigneur se doutait bien qu'il s'agît de sa sœur mais ne fît rien pour l'arrêter, car celle-ci qui était une fine lame reconnue, l'avait soutenu et aider à plusieurs reprises dans la conquête de ses terres. Et puis il s'agissait de sa sœur, il finissait toujours par lui pardonner. Il parcourait monts et vaux pour trouver une femme donc, cela devenait assez urgent sœur, mais il avait besoin d'une épouse –et donc par la suite, une descendance pour pouvoir appuyer son autorité. Après une large discussion avec sa sœur, celle-ci consentit à le laisser dans les bras d'une autre femme, s'il prenait celle-ci très jeune (donc une enfant) pour que la sœur puisse lui faire son « éducation ». Il accepta évidement, ça ne le dérangeait pas de se fiancer pour consommer le mariage bien plus tard, il était très romantique dans l'âme.

Pour rechercher sa future fiancée, il s'était vu obligé de revêtir l'armure familiale rouge –qu'utilisait normalement sa sœur- car il s'agissait d'un signe de reconnaissance de son rang, il espérait ainsi que les familles seraient plus enclines à lui laisser l'enfant qu'il choisira comme sa future épouse. Donc il parcourt sa seigneurie et finit par tomber sur... Hans, et non, pas maria, mais enfant, il était encore plus difficile de le différencier d'une petite fille. Le seigneur retourne chez lui, fait part de sa découverte à sa sœur. Il a vu une petite fille qu'il a trouvé ravissante, il ne lui a pas parlé, mais voilà, il sait que c'est elle, elle a du potentiel pour lui.

Au même moment, Abby, qui est un personnage secondaire trèèèès important pour Hans, décide de mettre son plan à exécution, et, se glissant dans la maisonnée sous sa forme de corbeau commence à empoisonner les plats de la mère de Hans. (Je ne vais pas noter l'histoire d'Abby ici, ni ses motifs pour, comme vous pouvez le constater déjà, pourrir la vie de Hans au possible. Il s'agit de l'histoire de Hans, pas de celle d'Abby. D'ailleurs si je fais Abby dans le futur en dc ou tc, vous saurez de toute manière, sinon, je préfère garder le mystère sur ses motifs). Celle-ci tombe rapidement malade. De ce fait, le père de Hans qui est un homme très aimant, commence à passer un peu plus de temps avec sa femme, et réparti différemment les tâches. Maria finit par se retrouver plus souvent seule à effectuer la garde du troupeau. Lorsque la sœur du seigneur revient pour voir l'enfant, elle trouve donc Maria. Elle discute avec elle, la trouve très jeune très influençable, elle décide d'enlever l'enfant sans autre forme de procès, elle n'est pas femme à faire dans la dentelle et, mis a part son frère, elle se fiche royalement des émotions du petit peuple. Au même moment, la mère de Hans est mourante, le père reste donc à son chevet, le frère s'occuper de rassembler du bois, lorsqu'il voit que sa sœur ne revient pas alors que la nuit tombe, il part à sa recherche, prévenant son père au préalable. (Note la forêt n'est pas sensé être très dangereuse, il la connait bien, et il s'agit de la forêt de Candis). Il ne trouve pas sa sœur, mais trouve, par contre, un ruban lui appartenant, que celle-ci a laissé tomber dans un éclair de lucidité en se faisant enlever. Il comprend que quelque chose est arrivé, remarque les traces de sabot. Le troupeau, en l'absence de berger, c'est éparpillé. Il prend un temps fou à retrouver les brebis, finit par se perdre dans la forêt, finit par s'endormir dans un coin à l'abri avec le bétail pour le tenir au chaud. Au même moment ou Hans chercher sa sœur, sa mère décède, et Abby sous forme de corbeau se pose sur la fenêtre et annonce au père, que ses deux enfants son mort, noyé dans la rivière. Alors il se trouve que la famille de Hans vivant en quasi-autarcie, en plein milieu de la forêt donc, a des croyances païennes très ancrées autour des animaux et du narrateur, notamment du coup, autour des animaux qui parlent, d'autan plus lorsqu'il annonce des faits, des présages. Donc le père de hans, prenant au mot ce qu'il pense être une sorte d'oracle de mort, décide de se suicider, puisque après tout, le narrateur à décider de décimé sa famille.

Lorsque Hans revient le lendemain, il trouve ses deux parents morts, et, quitte la maison sans rien, va jusqu'au village. Il désemparé, perdu et détruit. C'est encore un petit garçon. Il se trouve qu'à ce village passe au même moment un cirque itinérant. Il finit par s'y faire recruter comme larbin, garçon à tout faire, notamment à cause de la coloration de ses cheveux, ce n'est pas exceptionnel de rencontrer une personne avec des yeux ou des cheveux d'une coloration différente de la normale, après tout, nous sommes à Queer Tales, mais bon, ça attire tout de même les regards. Dans ce cirque, dans lequel il est traité comme la lie de la lie, il est mis en paire avec une petite fille, à peu près de l'âge de sa sœur –en fait il n'a aucune idée de son âge- qui ne parle pas. Il a été mis en paire avec elle, car elle possède aussi des yeux/cheveux bleus, bien que la teinte en soit différente. Donc le père de hans, prenant au mot ce qu'il pense être une sorte d'oracle de mort, décide de se suicider, puisque après tout, le narrateur à décider de décimer sa famille. Il se déplace donc avec le cirque pendant un bon bout de temps, plusieurs années, ce qui annihile quasiment toute traces de son ancien caractère de gamin normal et niais. Il devient une simple poupée de chiffe molle qui fait ce qu'on lui ordonne, il se fait petit à petit à l'idée qu'il ne retrouvera jamais sa sœur, sa seule famille. La, une fois arrivé à crudelis, un évènement se produit. Le Chapiteau prend feu, réduisant à néant la plus part des biens du cirque ambulant. Surprise, on retrouve pleins de boîtes d'allumettes et de combustible dans la paillasse de Hans et son compère muet. Lui, n'a rien fait, mais comme tout l'accuse il est condamné à la peine de mort avec sa soit disant comparse toujours aussi muette qu'une carpe. (il s'agit en fait d'Abby)

Le temps que la condamnation soit mise à exécution, ils vont croupir dans une petite cellule près de la place des exécutions. Il s'agit d'abby, qui lui propose un contrat très spécifique. Elle lui propose sa protection, elle l'aidera à faire en sorte qu'il puisse s'échapper de cet endroit, retrouver et récupérer sa sœur. Elle promet de faire de lui un homme fort, capable de se défendre seul. Elle lui promet aussi qu'elle veillera sur son corps, et viendra toujours à son secours, SAUF, si sa mort imminente est dû à une quelconque trahison de la part d'une personne proche, ou d'un coup monté, ou, pour le coup, elle ne fera rien pour empêcher l'inévitable. En échange de cela, il ne pourra pas se débarrasser d'elle, c'est-à-dire qu'elle lui collera au basque autan qu'elle en a envie, que temps que le problème avec sa sœur ne sera pas réglé, il lui vouera obéissant totale, et aussi que la forme de leur contrat, au lieu d'être un bout de papier, sera la vie de la petite fille qui l'accompagne, qui n'a toujours pas de prénom à ce moment-là.

Commence donc la vie de Hans, la petite fille, et Abby. Sur plusieurs années, ils vont redescendre de Crudelis en passant par les autres royaumes jusqu'à Candis, parce qu'évidemment, Abby sait très bien ou se trouve la sœur de Hans. Pendant ces années-là, Abby inculque des valeurs de meurtrier à Hans, elle lui apprend à se battre, à couvrir ses arrières, il travaille sa souplesse, sa musculature. Elle le transforme en véritable petit monstre pour qui la cruauté est signe de bonnes santés, elle embarque la petite fille avec eux aussi, bien qu'au final, elle ne lui apprenne pas grand-chose à elle. Elle lui apprend aussi les propriétés de certaines plantes, poison ou médicinale. Elle se fait véritable mentor pour lui. Elle lui donne le goût pour le sadisme et la torture, lui fait connaître l'horrible torture qu'est la faim, et ainsi, le converti à son régime alimentaire. Car abby qui est un corbeau à la base, est charognard. En l'affamant et lui inculquant ses méthodes de penser quant au genre humain, elle réussit à lui faire accepter que le cannibalisme est une chose tout à fait convenable.

La petite troupe finit par arriver à Candis, là, Hans va aller à la rencontre une première fois de sa sœur, Maria, qu'il n'a pas vue depuis plusieurs années. Il y a une sorte de choc des cultures, elle a vécu une vie paradisiaque pendant tout ce temps, élever comme une fille de la noblesse. Elle ne se rend absolument pas compte de la réalité, que ses parents sont morts. Tout le monde lui raconte de belles histoires et elle y croit à défaut d'avoir d'autre version. Si bien que lorsqu'elle voit son frère, souillon, avec un air d'allumer, venir soit disant la sauver des griffes de son kidnappeur, elle le repousse, plus qu'effrayer. Hans finit par devoir partir lorsque des gardes interviennent. Le problème. Hans pense qu'elle a été endoctrinée et qu'elle ne voit absolument pas ce qui se passe, que tout ça n'est qu'un stratagème. Sauver sa sœur est devenu sa raison de vivre, et son cerveau tourne en boucle sur cette idée. Comme la sœur du seigneur à vent de cette « visite » elle décide faire surveiller les environs, et, recherche se frère indésirable, si possible l'abattre dans un coin, histoire qu'il ne cause pas d'ennui.

Abby endort Hans plus profondément dans sa méthode de penser. Les trois complices réquisitionnent une cabane appartenant à une vieille dame, dans la forêt vivante, laissant un peu de temps passer. Hans essaye de monter un plan pour aller récupérer sa sœur, mais ne pouvant plus se montrer dans les abords de la demeure et du village, il y envoie la petite fille qui l'accompagne –toujours sans prénom et toujours aussi muette. Alors qu'il monte des plans, des idées, il est pris de court lorsque la petite revient avec une affiche qui annonçait le futur mariage de sa sœur, avec le seigneur. Il n'a clairement plus le temps. Il décide de foncer, Abby lui assurant ses arrières. Pendant le temps ou Hans restait dans cette cabane perdue dans les bois, et lorsque Abby s'absentait pou faire des « emplettes » elle déposait sous sa forme de corbeau, des lettres, à l'attention da la sœur du seigneur, expliquant dedans que la jeune fille qui allait bientôt être l'épouse de son frère, n'étant qu'une perfidie masquée, et qu'elle allait profiter de ce mariage, que tout était arrangé avec son propre frère, ce genre de choses.

Revenons à Hans, il décide donc, de simplement enlever à nouveau sa sœur. Il se dit qu'il lui ferait retrouver la raison sur le chemin de la maison, que tout rentrerait dans l'ordre. À ce moment-là, il est complètement allumé par ses convictions. Il finit par réussir à s'infiltrer dans le château, là, il y trouve sa tendre, sœur, Maria, dans sa robe de marié qu'elle essayait. Il essaie de la raisonner à nouveau, mais celle-ci est encore plus vindicative que la première fois, clairement effrayée par ce prétendu frère qui lui ressemble à la fois tellement et à a la fois si peu, puisqu'elle se souvient si peu de lui au final. Il tente de l'enlever de force, mais elle se débattant, finit par alerter les gardes, qui accourent et encerclent rapidement Hans. La sœur du seigneur et le seigneur, arrivent rapidement en apprenant le problème. Confronter à Hans, et confronter à la peur de sa future femme, il émet l'ordre de l'exécuter sur-le-champ, sous les conseils de sa sœur. Hans lui est tétanisé, sans comprendre pourquoi sa propre sœur ne prend pas sa défense. Alors que le garde sort son épée et s'apprête à répartir ses entrailles sur le sol. La sœur du seigneur pousse discrètement, mais avec force, Maria, qui finit par se faire embrocher dans un grand cri, à la place de Hans. Là, c'est la panique, Hans est toujours les bras ballants, ayant du mal à réaliser ce qu'il se passe. Les gardes et surtout le gardes, ne savant plus ou se mettre, le seigneur est à genoux à crier un médecin alors que c'est déjà trop tard, et la sœur est fière de s'être débarrassé une nouvelle fois, d'un élément potentiellement perturbateur entre elle et son frère. Comme la situation a totalement dérapé, Abby, de l'extérieur, ouvre la fenêtre de l'étage ou se trouve Hans, et lui ordonne de s'échapper par celle-ci. Sous le coup des émotions extrêmes qui le submerge, de l'habitude de répondre aux ordres de cette voix si particulière, il se précipite par cette fenêtre, et tombe dans des douves remplies d'eau –pas de pointes au fond de l'eau ni rien. Comme il était très haut et en rajoutant le stress de la situation, il s'évanouit traversant l'eau. Il de toute manière recueillit par Abby et la petite fille.

Alors qu'il revient peu à peu à lui dans la cabane, il confond la petite fille dans la confusion de son état avec sa sœur, l'appelant Maria. Celle-ci le prend comme s'il lui donnait un prénom, et commence à le répéter joyeusement. Il finit par la rouer de coups la traitant d'insolente, plus par désespoir de causes qu'autre chose. Il faillit la tuer sous la colère, mais est arrêté par Abby, qui lui rappel les termes de son contrat, et lui demande avec une fausse innocence, s'il a envie de se retrouver totalement seul. Après cet épisode, et le temps de se remettre de ses émotions, il redéfinit les termes de son contrat avec Abby. Comme le problème de sa sœur est réglé de toute manière au vu de sa mort, il ne doit plus répondre des ordres d'Abby, mais gardant cette « nouvelle Maria » auprès de lui, il s'octroie toujours le soutien d'Abby. Il en profite donc pour vouloir se venger de la mort de sa sœur. Il finit par retrouver le seigneur, qui lui, est au comble du désespoir d'avoir perdu la jeune fille qu'il pensait, serait l'amour de sa vie. Il a fini par renier sa sœur en la condamnant en temps que chevalière à aller redorer son blason dans des arènes de duels à Crudelis. Car il n'est pas dupe et a très clairement vu celle-ci pousser sa future femme. Hans finit par le prendre ne pitié, d'autant plus en voyant que cet homme, s'attache tout de suite à lui, car, effectivement, la ressemblance entre Hans et sa sœur ne s'est pas atténuée, même en grandissant.

À ce moment-là, il décide qu'il mettra fin aux jours de cette femme surnommée le chevalier rouge, à cause de son armure. Il sait aussi qu'elle se trouve dans une arène à Crudelis, mais n'a aucune idée de laquelle. Il décide d'aller la chercher, mais ne veut pas impliquer la « nouvelle Maria » dans cette quête, il décide donc après s'être refait une santé et une tenue aux frais de la princesse chez le seigneur, de s'acheter une maison dans la capitale de Candis. Une fois cela fait, il commande des travaux pour cette même bâtisse, pour la rendre plus luxueuse, toujours aux frais du seigneur, qui lui, est près à lui payer n'importe quoi, pour peu qu'il fasse ce qu'il ne pourrait jamais faire, c'est-à-dire, venger la mort de la première Maria, lui rendre visite, et être sa lame s'il en avait soudainement besoin d'une, pour un quelconque différent politique. Hans commence sa quête de vengeance, et, sur la route, ne peux s'empêcher de faire des arrêts pour aider tel ou tel jeune fille qui lui rappel sa sœur, ou tout du moins ce qu'il imaginait être sa sœur : créature innocente, naïve du monde, manipulable, qu'il retire de leur vie monotone ou horrible, et leur promet un amour sans faille si elle entre à son service. Il les redirige ensuite, à Candis, dans son manoir. Donc plusieurs années passent à nouveau avant qu'il ne se retrouve enfin à Crudelis. Évidemment, il ne compte pas concourir dans une des arènes reconnues par la reine. Il finit par dénicher ce « chevalier rouge » dans une arène clandestine, ou il la demande en duel, et la tue. Il est récupéré ensuite par Abby, qui soigne ses blessures avant qu'il ne meure et le ramène à son manoir. Et c'est ici que l'entrée de Hans dans le rp commence.

Votre but dans tout ça ? :T'entrainer dans les tréfonds de l'Enfer hihi~
Autre chose à dire sur votre personnage ? :hum, hum...je ne pense pas... [edit : Hans est anthropophage, et buveur de sang ~ ]
Grisélidis Hans : La Patience à ses limites ! 930438Dtailspournous
Groupe de Votre Personnage :Coquelicot

Une Demeure ? : Déjà fait

Un Rang Personnalisé ? : Déjà fait aussi
Grisélidis Hans : La Patience à ses limites ! 893424Leforumvous
Votre Prénom : Lou
Votre Âge : 15 ans l'inscription
Comment avez-vous connu le Forum ? :=w= j'ai (un peu) participé à la construction
Qu'en pensez vous ? :Fufu~ Il est parfait bien sûr !
Que pensez vous du thème ? :Omedetto Gretel >w< ! *la jette en l'air*
Des Suggestions ? :UwU elles sont déjà en cours de réalisation et c'est S-E-C-R-E-T ♥
Code : {T'aurais pu te valider tout seul quand même ! (Ed)}
Quelques mots ? :Hihi~ Attention à toi ♥ et à tes miches [ et désolé si ma fiche est pas très bien mais certain me comprendrons =w=]


Dernière édition par Grisélidis Hans le Lun 2 Juin 2014 - 5:23, édité 4 fois
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Hansel Friedrich
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Lecteur ou Conte (lequel) ?: Hansel et Gretel
Arme(s): J'en ai trop pour les citer toutes. Mais sur moi, mon fidel couteau de poche!
Un petit mot ?: Qui a dit que les bonbons n'étaient pas dangereux ?! Ahah!

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MessageSujet: Re: Grisélidis Hans : La Patience à ses limites !   Grisélidis Hans : La Patience à ses limites ! Icon_minitimeSam 3 Oct 2009 - 16:52
Uhuh~

Bon je te valide xD
Tu as competement changé d'histoire, ca me fait bizarre xD Fin' bref, tu pourras la completer plus tard x3

Bon rp avec moi~
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